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NOTE LÉGALE:
Ces tutoriels représentent des travaux faits par nous-mêmes dans nos propres locaux pour notre propre satisfaction. Les lecteurs souhaitant s'en inspirer feront leurs travaux à leurs propres risques et périls.
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Contexte général | Bougies iridium.
- Les moteurs modernes utilisent plus qu'une seule étincelle pour une combustion optimale et requièrent des bougies de plus petit diamètre afin de pouvoir loger toutes les soupapes d'un cylindre, etc.
- Ceci a souvent conduit à de plus petites bougies munies d'un écrou de 14mm au lieu de 16mm (années 80) et 19mm (années 60)
- Afin de maintenir une bonne dissipation thermique, la longueur de la vis de bougie a été augmentée.
- Les électrodes sont fabriquées avec des métaux plus nobles et donc plus résistants comme une électrode centrale en platine et l'utilisation de l'iridium ou du titane.
- Electriquement, l'étincelle est maintenant voulue plus brève mais d'intensité plus importante ce qui requiert souvent une plus grande tension.
- En somme, le bougies sont mieux construites et en même temps soumises à des efforts thermiques et électriques plus importants.
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Panne no 1 des bougies iridium - isolateur brûlé
Les photos ci-dessous montrent comment l'isolateur en céramique de la bougie iridium subit des températures extrêmes au contact de la partie métallique.
A gauche, une bougie de seulement 13,000Km, à droite 30,000Km.
La progression des brûlures est bien visible.
Il serait aussi possible que le joint interne de la bougie soit rompu laissant passer des gaz de combustion vers l'extérieur.
La seule prévention possible est de bien serrer les bougies à 2.5mKg afin d'assurer un contact métal-métal optimal et donc une bonne dissipation thermique.
A gauche, une bougie de seulement 13,000Km, à droite 30,000Km.
La progression des brûlures est bien visible.
Il serait aussi possible que le joint interne de la bougie soit rompu laissant passer des gaz de combustion vers l'extérieur.
La seule prévention possible est de bien serrer les bougies à 2.5mKg afin d'assurer un contact métal-métal optimal et donc une bonne dissipation thermique.
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Panne no 2 des bougies iridium - électrode de masse trouée
L'électrode centrale en platine résiste très bien aux efforts décrits ci-dessus ce qui n'est pas le cas de celle de masse.
Un trou se forme sur cette électrode comme dans la photo ci-dessous d'une bougie de 13,000Km seulement.
Le trou augmente l'écart des électrodes et réduit l'intensité de l'étincelle de par la dégradation du métal dans le trou.
Un trou se forme sur cette électrode comme dans la photo ci-dessous d'une bougie de 13,000Km seulement.
Le trou augmente l'écart des électrodes et réduit l'intensité de l'étincelle de par la dégradation du métal dans le trou.
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Panne no 3 des bougies iridium - électrodes complètement usées après seulement 3 à 5000 km
La présence de souffre dans l'essence et la conduite fréquente en montée, à un régime moteur moyen de 3000 tr/min, sont venus à bout de ces bougies iridium qui ont complètement "fondu" en seulement quelques milliers de kilomètres:
Les quatre bougies ont subi la même usure prématurée, de façon uniforme, avec des électrodes hautement rongées par le souffre et dont il ne reste presque rien:
Durée de vie des bougies iridium
Remplacez les bougies même iridium tous les 10,000Km si vous souffrez des symptômes ci-dessus.
Ceci est en particulier vrai dans les pays à mauvaise qualité d'essence, notamment à faible taux d'octane et haut taux de souffre.
Symptômes des bougies défaillantes:
Ceci est en particulier vrai dans les pays à mauvaise qualité d'essence, notamment à faible taux d'octane et haut taux de souffre.
Symptômes des bougies défaillantes:
- Quelques râtés d'allumage (sans génération de codes) lors des reprises à partir de 40 ou 60 Km/h.
- Augmentation de la consommation d'essence.
- Ralenti instable moteur froid mais ce symtôme est commun à tant d'aures pannes.
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